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UN ENTREPRENEUR QUÉBÉCOIS A DÉCIDÉ DE POURSUIVRE DIDIER DROGBA EN JUSTICE

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DIDIER DROGBA

Didier drogba au coeur de l’actualité cette semaine, la star ivoirienne est visé par des accusations d’un entrepreneur canadien, la cause de ces accusations sont le non respect des ententes.

Selon nos confrères d’abidjan show, cette affaire risque de mettre le feu aux poudres. Des médias canadiens ont révélé qu’un entrepreneur québécois a décidé de poursuivre Didier Drogba en justice, pour affaire les concernant. Le plaignant a déposé sa plainte à la Cour supérieure à Montréal.
En effet, l’homme en question répondant au nom de Jordan Pascal, aurait rencontré la légende ivoirienne en août 2016, alors qu’elle évoluait encore à l’Impact de Montréal, pour l’associer à son projet de création d’une marque sportive, Jordan Alexander Design, spécialisée dans la conception et vente de chaussures de sport haut de gamme.

Drogba, apparemment séduit par ce projet, aurait accepté d’associer son image à cette marque dont il devait être l’ambassadeur. Son rôle était de promouvoir, par son charisme et sa notoriété, la marque partout dans le monde. L’accord aurait été conclu entre les deux parties et les clauses du contrat semblaient on ne peut plus claires.Drogba refuse de s’exprimer sur le sujet, ses avocats réagissent

Mais l’affaire aurait tourné au fiasco en novembre 2017, puisque la marque JDA, à l’occasion de la date officielle du lancement de ses chaussures, aurait vendu seulement 12 paires sur 126. Jordan Pascal, furieux, aurait alors accusé Drogba d’être responsable de cette situation, arguant que l’ex-capitaine des Eléphants n’aurait pas assez fait la promotion de ces équipements.

Drogba, joint au téléphone à plusieurs reprises, n’a pas voulu s’exprimer sur le sujet. Mais d’après un journal canadien, les avocats de l’ancien joueur de l’Impact Montréal ont répondu que l’athlète « avait toujours respecté ses obligations comme si les parties étaient liées par l’accord d’ambassadeur de la marque ».
Pour l’instant, la Cour supérieure à Montréal aurait demandé au plaignant de fournir des preuves de ses allégations. Quant à nous, nous reviendrons, à coup sûr, sur cette affaire.

 

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