NOUVELLES
 PROMOTION SPÉCIALE
 EVÉNEMENTS

AMERICANAH- LUPITA NYONG’O ET BRAD PITT REUNIS PAR CHIMAMANDA NGOZI

:::
Share on FacebookShare on Google+Tweet about this on TwitterShare on LinkedInEmail this to someone
LUPITA NYONG’O ET BRAD PITT

Depuis la sortie en cinéma du super héros africain Black panther, l’afrique est entrain comme de connaître un réveil particulier dans le domaine du cinéma. Découvrez selon un article de jeune africaine la prochaine adaptation d’une oeuvre afrique au cinéma.

La romancière Nigériane a annoncé, jeudi 25 février, lors d’une conférence au Quai d’Orsay, à Paris, que l’actrice mexico-kényane Lupita Nyong’o avait acheté les droits de son dernier roman.

Americanah

Ambassadrice de la Nuit des Idées 2018, événement initié par l’Institut Français dans 70 pays, l’écrivaine Chimamanda Ngozi Adichie, très attendue dans l’une des salles de conférence du Quai d’Orsay, a fait une annonce fracassante : Americanah, son dernier roman en date, paru en 2013 et traduit en France en 2015, sera adapté sur grand écran.

Brad Pitt comme producteur

« Lupita Nyong’O a acheté les droits d’Americanah et le long-métrage sera produit par Brad Pitt », a-t-elle lancé pour le plus grand plaisir de l’assistance.

La romancière a également annoncé que Lupita Nyong’o devrait probablement tenir le rôle d’Ifemelu, son héroïne. Quant au rôle d’Obinze, la romancière a soufflé le nom de l’acteur britannique David Oyelowo.

Écrire est ma raison d’être. Je sais que c’est un cadeau de mes ancêtres “Americanah” suit les aventures d’Ifemelu, une jeune Nigériane qui a quitté son pays natal pour suivre des études universitaires aux États-Unis. Une expérience qui la confronte notamment au racisme et à la discrimination.

Au cours de cette conférence, Chimamanda Ngozie Adichie, présentée comme « une grande Africaine » par la journaliste-modératrice, n’a pas manqué de rappeler qu’elle n’était pas une théoricienne du féminisme, mais une romancière.

« Je ne me souviens pas d’un seul moment où je n’ai pas eu envie d’écrire. Écrire est ma raison d’être. Je sais que c’est un cadeau de mes ancêtres. »  Elle a également rappelé que la littérature africaine n’avait pas à être considérée comme un ensemble d’études anthropologiques et qu’il y avait bien des librairies au Nigeria en réponse à une drôle de question…

[fbcomments]