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6 CHOSES À ABSOLUMENT SAVOIR AVANT D’OPTER POUR CETTE PRATIQUE SEXUELLE

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La sexualité est un domaine qui attire de plus en plus le monde. À vouloir  se faire plaisir et obtenir une jouissance totale durant les ébats sexuels, plusieurs pratiques ont vu le jour.

Nous repartons sur les traces d’une pratiques sexuelle qui a pris une grande place dans les relations intimes; la sodomie.

La sodomie est une pratique sexuelle très répandue dans le monde.

Il s’agit simplement d’avoir des rapports sexuels par la voie anale.

En Afrique, cette pratique a commencé à prendre de l’ampleur. Mais  personne n’en parle! Si les africaines se donnent à la sodomie, il y’a bien des raisons qui vont au delà du plaisir sexuel.

Pour certaines, c’est un moyen pour elles de garder leur virginité. Et d’éviter les grossesses hors mariage. Elles choisissent la sodomie à cause du contexte social et religieux.

Pour d’autres, on retrouve des raisons  comme le désir d’avoir des rondeurs. Car, selon les témoignages de certaines femmes,  les spermes de l’homme ont la capacité de faire grossir les postérieures d’une femme.

Tout en sortant de deux cadres précédent; faudrait préciser qu’il y’a aussi celles  qui le font juste pour le plaisir qu’elles reçoivent, c’est un fantasme.

Chacun a le droit d’avoir ses croyances, ses fantasmes et encore plus d’exprimer sa sexualité librement. Mais il est très important de savoir quels sont les inconvénients de certaines  pratiques sexuelles ont sur l’organisme. Decouvrez ainsi selon le site internet sante.journaldesfemmes les vrais risques de la somodie sur l’organisme.

  • Des effets incontestables sur le sphincter anal

 Lorsqu’on a des rapports par voie anale, le tonus anal diminue, on est plus souple au niveau du sphincter interne. Deux muscles existent au niveau de l’anus correspondant à deux sphincters :

 Un sphincter interne qu’on ne maîtrise pas. Il s’ouvre quand on va à la selle ou en cas de gaz. “Il participe à 70% de la pression de fermeture qu’on appelle “pression de repos” qui permet d’avoir l’anus complètement clos et étanche.”

 Un sphincter externe qui se serre quand on serre l’anus, c’est une pression “volontaire” (qui permet par exemple de se retenir quand on a envie d’aller à la selle).La somodie endomage le spincter avec le temps et la fréquence de vos pénétration anale.

  • Des douleurs quand la préparation est insuffisante

 Selon une étude publiée en 1998, 12.5% des personnes pratiquant la sodomie auraient des douleurs.Ces douleurs sont plus fréquentes chez la femme.Elles peuvent parfois s’associer à des irritations anales et rectales.

 Une pénétration trop brutale, un anus contracté, un manque de lubrification, un manque de stimulation de l’anus au préalable ou un blocage psychologique dans l’acceptation de la sodomie peuvent favoriser les douleurs.

  • Des risques de fissures anales ?

 Non, simplement dans le cas ou la sodomie est mal préparée ou violente. Le plus important est d’assurer une lubrification suffisante même si ce n’est pas la première fois et de ne pas oublier les préliminaires.”

  • Des risques d’hémorroïdes ?

Non,Il n’y a pas de risque de problèmes hémorroïdaires quand c’est bien fait et bien préparé. Cependant, si la personne a une maladie hémorroïdaire pré-existante, cela peut être désagréable voire majorer les symptômes en fonction de l’intensité de l’acte ou du nombre de partenaires dans la soirée ou de la taille des accessoires sexuels utilisés.

  • Des risques d’incontinence anale ?

Si la sodomie rend les sphincters anaux plus souples, ce n’est pas forcément corrélé à un trouble de la continence.

Dans une enquête menée en 1993, 40 hommes homosexuels ayant en moyenne 2,5 rapports anaux passifs par mois ont décrit une incontinence anale (flatulences, selles liquides) plus fréquente que les 18 témoins.

 Dans une étude réalisée en 2018 auprès de 1 000 femmes, 32% avaient au moins eu un rapport anal et 12% régulièrement. 70% d’entre elles déclarent une incontinence anale et 10% considéraient que c’était en lien avec leur sexualité anale.

 Dans un troisième travail mené sur 4 170 adultes (2 100 hommes et 2 070 femmes), le sexe anal était corrélé à une incontinence fécale plus fréquente. Dans tous les cas, vous devez prendre des précautions pour pas tomber dans une incontinence?

  • Sodomie et infections sexuelles : une “épidémie”

La sodomie est un facteur de risque bien identifié. Les plus touchés sont les homosexuels masculins et les femmes de moins de 40 ans avec une probable multiplicité des partenaires sexuels.

Quelles infections peut-on contracter lors de la sodomie ? La syphilis, la gonococcie, la chlamydiose, les hépatites B et C et le VIH à l’origine du Sida.

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